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dimanche 1 avril 2012

Fukushima! les taux d’irradiations plus forts que les robots..


Naturellement , tout est sous contrôle ! Aucun problème , juste que même les robots ne tolèrent plus les irradiations, ils vont finir par faire la grève eux aussi:) Voici la nouvelle :

Arrivés à de tels niveaux de radiations, même les robots ne tiendront pas longtemps !
L’ingénieur en chef ayant participé à la création de la série de robots « Quince » qui interviennent, quand les conditions sont remplies, sur les parties les plus radioactives du site accidenté de Fukushima-Daiichi, M. Eyiki Koyanagi, a déclaré ce jour au JT que que les robots ne pourront travailler que deux à trois heures dans une ambiance extrêmement radioactive équivalente à celle qui a été récemment mesurée au sein du confinement de l’unité n°. 2.
Même les appareils électroniques « durcis » ne résistent pas à ces niveaux de dose !Lors de la première mission d’endoscopie sur l’unité n°. 2, il s’est avéré que l’endoscope industriel utilisé pour tenter de visualiser le niveau d’eau dans le confinement n’avait pas supporté l’exposition pourtant relativement courte à des irradiations de plusieurs dizaines de Sv/h. Certains observateurs estiment d’ailleurs que la première mission a été abandonnée prématurément suite à la dégradation précoce de la caméra.


Or, d’après le Professeur Misawa de l’université de Kyoto, le délai nécessaire pour faire une exploration approfondie du confinement de l’ex-unité n°2 serait de 5 ou 6 heures au minimum.
Ceci confirme la difficulté supplémentaire liée au défaut de technologie disponible et nous autorise une nouvelle fois à estimer que le Japon se devrait, ne serait-ce qu’en réponse à la large dispersion des retombées radioactives dans la biosphère, solliciter enfin l’assistance internationale la plus large dans le domaine de l’ingénierie nucléaire.
Les Japonais ont su partager la radioactivité, ils doivent partager la gestion de ce problème qui est devenu régional -sinon mondial- avec les plus grands spécialistes internationaux disponibles.
Que des complications importantes surviennent avant que les technologies ne soient disponibles « localement » et personne ne pardonnera plus une désinvolture des autorités Japonaises qui est aujourd’hui tolérée ; est-ce vraiment ce qu’elles souhaitent ?L’AIEA ou l’ONU ne pourraient-ils pas prendre enfin en considération la gravité de la situation et exercer une amicale mais ferme pression sur le Japon tout en leur « présentant » -à deux mains- une réponse concertée ?
Il n’y va pas seulement de la durée du chantier mais également de la sécurité du Japon et peut-être bien au-delà(…)
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Auteur : Source Japonaise : Japan TimesSource : www.gen4.fr publié par Sos-Planète
Source :  http://lesmoutonsenrages.fr


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