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mardi 27 août 2013

20000 puits sous les terres ou Gaz de schiste au Québec


Fait un bout que j'ai rien ajouté sur le blog, mais là c'est une information à faire chier un gars constipé! Les pétros-voleuses ont décidées, avec l'accord du gouvernement du Québec, de voler des terres pour prendre la gaz de chite! C'est le même gouvernement qui nous avait promis de faire un moratoire, de prendre en considération la nature et les gens...mouahahah foutaise de marde.com! Voici le résumé de l'histoire :
Le gouvernement de la Belle Province, qui entend améliorer son indépendance énergétique, a levé le moratoire qui empêchait l’exploitation des hydrocarbures dits « non conventionnels ».
La province du Québec devrait produire cet automne ses premiers barils d’or noir issus de gisements de pétrole de schiste. Le territoire francophone du Canada avait jusqu’à présent imposé un moratoire sur la production de gaz et de pétrole de schiste.  
La Belle Province, dotée de ressources hydrauliques très généreuses, tire près de 40 % de ses besoins énergétiques de ses barrages hydroélectriques, mais le gouvernement québécois entend améliorer son indépendance énergétique en donnant son feu vert à l’exploitation des hydrocarbures dits «non conventionnels». Le Québec deviendra ainsi la sixième province du Canada à produire de l’or noir ou du gaz. 
Bouygues et Maurel Prom au démarrage du projet 


La compagnie Pétrolia, dont le premier actionnaire, à hauteur de 10,4 % du capital, est le gouvernement québécois, exploitera les premiers gisements dans la péninsule de Gaspésie, au bord du golfe du Saint-Laurent. 
Pétrolia partage ses concessions avec le groupe Bouygues via sa filiale canadienne Investcan Energy. Le géant français du BTP possède des filiales spécialisées dans le forage pétrolier.  
Le premier champ qui devrait entrer en production, proche de la ville de Gaspé, recélerait 7,7 millions de barils récupérables. Pétrolia, associé à un autre groupe hexagonal, Maurel et Prom, producteur de pétrole actif en Afrique, envisage aussi de développer en 2016 les gisements prometteurs de l’île d’Anticosti, un joyau écologique grand comme la Corse à l’embouchure du Saint-Laurent, qui regorgerait de 40 milliards de barils de pétrole.  
Au Québec comme en France, la fracturation hydraulique, seule technique actuellement employée pour extraire les hydrocarbures de schiste, est critiquée pour ses effets sur l’environnement. Aussi l’Assemblée nationale québécoise doit-elle adopter une nouvelle législation sur la protection des ressources en eau avant le démarrage des forages d’exploitation. À Anticosti, Pétrolia envisage d’ailleurs de remplacer l’eau par du gaz pour fracturer la roche, une technique encore peu répandue.

Source: Le Figaro , Youtube et http://naturealerte.blogspot.ca/

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